Isigny-sur-Mer

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Isigny-sur-Mer
De haut en bas, de gauche à droite : le château de Castilly ; l'église Saint-Georges d'Isigny-sur-Mer, vue de l'Aure à Isigny-sur-Mer ; l'hôtel de ville de la commune ; l'église Notre-Dame de Vouilly ; la chapelle Saint-Roch de Neuilly-la-Forêt.
Blason de Isigny-sur-Mer
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Normandie
Département Calvados
Arrondissement Bayeux
Intercommunalité Communauté de communes Isigny-Omaha Intercom
Maire
Mandat
Éric Barbanchon
2020-2026
Code postal 14230 et 14330
Code commune 14342
Démographie
Gentilé Isignais
Population
municipale
3 570 hab. (2021)
Densité 58 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 19′ 07″ nord, 1° 06′ 03″ ouest
Altitude Min. 0 m
Max. 64 m
Superficie 61,44 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Isigny-sur-Mer
(commune-centre)
Élections
Départementales Canton de Trévières
Législatives Cinquième circonscription
Localisation
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Liens
Site web www.isigny-sur-mer.fr

Isigny-sur-Mer est une commune française, située dans le département du Calvados en région Normandie, peuplée de 3 570 habitants[Note 1] (les Isignais).

Géographie[modifier | modifier le code]

Situé au fond de la baie des Veys, le territoire d'Isigny-sur-Mer est bordé à l'ouest par la Vire et au nord par son ultime affluent, l'Aure, qui arrose le bourg. La commune fait partie du parc naturel régional des Marais du Cotentin et du Bessin à l'exception des communes déléguées de Castilly et Les Oubeaux.

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique franc, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Normandie (Cotentin, Orne), caractérisée par une pluviométrie relativement élevée (850 mm/a) et un été frais (15,5 °C) et venté[2]. Parallèlement le GIEC normand, un groupe régional d’experts sur le climat, différencie quant à lui, dans une étude de 2020, trois grands types de climats pour la région Normandie, nuancés à une échelle plus fine par les facteurs géographiques locaux. La commune est, selon ce zonage, exposée à un « climat maritime », correspondant au Cotentin et à l'ouest du département de la Manche, frais, humide et pluvieux, où les contrastes pluviométrique et thermique sont parfois très prononcés en quelques kilomètres quand le relief est marqué[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,2 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 10,6 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 754 mm, avec 13,3 jours de précipitations en janvier et 7,2 jours en juillet[1]. Pour la période 1991-2020 la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Balleroy-sur-Drôme à 25 km à vol d'oiseau[4], est de 11,2 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 924,3 mm[5],[6]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Isigny-sur-Mer est une commune rurale[Note 2],[8]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[9],[10].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Isigny-sur-Mer, dont elle est la commune-centre[Note 3]. Cette aire, qui regroupe 5 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[11],[12].

La commune, bordée par l'estuaire de la Vire, est également une commune littorale au sens de la loi du , dite loi littoral[13]. Des dispositions spécifiques d’urbanisme s’y appliquent dès lors afin de préserver les espaces naturels, les sites, les paysages et l’équilibre écologique du littoral, comme le principe d'inconstructibilité, en dehors des espaces urbanisés, sur la bande littorale des 100 mètres, ou plus si le plan local d’urbanisme le prévoit[14],[15].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le nom de la localité est attesté dans les mentions [William de] Ysini vers 1150[réf. nécessaire], Isignie en 1195 (magni rotuli, p. 84), Ysigny en 1243 (charte du Plessis-Grimoult, p. 437), Isegny vers 1380 (L. Delisle, classes agricoles, p. 556), Isegneium et Isigneium en 1476 (cartulaire du Plessis-Grimoult), Ésigny en 1723[16].

Voir Isigny-le-Buat.

Isigny devient « Isigny-sur-Mer » en 1924.

Histoire[modifier | modifier le code]

L'histoire d'Isigny, bourg de moyenne importance, est intrinsèquement liée à l'activité économique locale. L’industrialisation de la transformation laitière s'y développe dès le début du XIXe siècle. La dynastie des Dupont d'Isigny crée plusieurs usines, où les fameux caramels d'Isigny seront créés. Puis ce sera la Coopérative laitière d’Isigny qui tiendra le haut du pavé[Quoi ?]. Parallèlement, les foires agricoles et les marchés feront d’Isigny un centre réputé.

Le port, souvent oublié, connut une activité importante : accueillant le petit cabotage, il permit de maintenir et de développer des activités commerciales et industrielles (importation de bois du nord, exportation de beurre et de charbon de la mine de Littry). La pêche y tint un rôle important jusqu'à la fin des années 1970 (pêche aux moules, le fameux « Caïeu d'Isigny », et aux coques à partir de petites embarcations, les picoteux, armées par les pêcheurs du quartier des Hogues).

La ville fut desservie par les chemins de fer du Calvados, une compagnie de chemin de fer secondaire.

En 1924, Isigny devient Isigny-sur-Mer.

Détruite à plus de 60 % par deux vagues de bombardements le , Isigny fut presque entièrement reconstruite. Le général de Gaulle rendit visite à ses habitants le et le .

La famille de Walt Disney serait originaire d'Isigny, le nom « d'Isigny » s'étant au fil des générations transformé en Disney[17].

Le , les communes de Castilly, d'Isigny-sur-Mer, de Neuilly-la-Forêt, des Oubeaux et de Vouilly fusionnent pour former la commune nouvelle d'Isigny-sur-Mer par un arrêté préfectoral du [18]. Les communes de Castilly, d'Isigny-sur-Mer, de Neuilly-la-Forêt, des Oubeaux et de Vouilly deviennent des communes déléguées et Isigny-sur-Mer est le chef-lieu de la commune nouvelle.

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Mairie d'Isigny-sur-Mer.
Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
janvier 2017[19] En cours Éric Barbanchon[20] UDI Technicien de laboratoire
Les données manquantes sont à compléter.

Le conseil municipal est composé de vingt-neuf conseillers dont le maire et huit adjoints[20].


Liste des communes déléguées
Nom Code
Insee
Intercommunalité Superficie
(km2)
Population
(dernière pop. légale)
Densité
(hab./km2)
Isigny-sur-Mer
(siège)
CC Isigny-Grandcamp-Intercom 17,44 2 492 (2020) 143


Castilly 14142 CC Isigny-Grandcamp-Intercom 12,20 309 (2019) 25
Neuilly-la-Forêt 14462 CC Isigny-Grandcamp-Intercom 21,20 445 (2019) 21
Les Oubeaux 14481 CC Isigny-Grandcamp-Intercom 4,27 207 (2019) 48
Vouilly 14763 CC Isigny-Grandcamp-Intercom 6,33 152 (2019) 24

La commune appartient à la communauté de communes Isigny Omaha Intercom créée le .

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis sa création.

En 2021, la commune comptait 3 570 habitants[Note 4], en diminution de 2,83 % par rapport à 2015 (Calvados : +1,02 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
2015 2016 2017 2021
3 6743 6563 6393 570
(Sources : Insee à partir de 2015[21].)


Économie[modifier | modifier le code]

La crème d'Isigny.
Une laiterie d'Isigny vers 1900.

Isigny est célèbre pour les produits du terroir fabriqués à partir du lait, comme le beurre et la crème qui bénéficient d'une AOP[22]. On y fabrique aussi des fromages : mimolette, pont-l’évêque, camembert AOP, trésor d’Isigny, etc., notamment à la coopérative « Isigny Sainte-Mère ».

La commune est aussi connue pour ses confiseries, en particulier les caramels de la société Dupont d'Isigny.

Depuis la deuxième moitié du XXe siècle, l'ostréiculture est largement développée à proximité dans la baie des Veys (Isigny-sur-Mer).

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

  • Église Saint-Georges du XIIIe siècle.
  • L’hôtel de ville se trouve dans un château du XVIIIe siècle, style Louis XVI.
  • Église Saint-Roch d'Isigny-sur-Mer (XVIe siècle).
  • Château de Castilly, du XVIIIe siècle, entouré d'un parc à la française classé de quatre hectares et de 1 200 mètres de douves.
  • L'église Notre-Dame de Vouilly, a pour origine une chapelle sépulcrale appartenant à un cimetière mérovingien au VIe siècle. L'édifice actuel date du VIIIe siècle, remanié aux XIIe, XIIIe et XIXe siècles. L'église fut fortifiée pendant la guerre de Cent Ans.
  • Église de la Nativité-de-Notre-Dame de Castilly.
  • Le château de Vouilly date du XVIIe siècle, jardins à la française.
  • Église Sainte-Marie-Magdeleine du XIIe siècle des Oubeaux. L'édifice d'origine, d'orientation classique est-ouest, est devenu au XIXe le transept d'une nef orientée nord-sud, munie d'un clocher.
  • Fromagerie au lieu-dit de la Chevallerie aux Oubeaux.
  • Château[23] du XIe siècle d'architecture normande. Il appartenait à Odon, frère de Guillaume le Conquérant.
  • Église Notre-Dame-de-l’Assomption de Neuilly-la-Forêt.
  • Église de l'Assomption-de-Notre-Dame de Mestry.
  • Église Sainte-Marie-Magdeleine des Oubeaux.
  • L'ancien terrain d'aviation[24] : construit en 1944 par l’armée américaine, le terrain d’aviation dans son temps (plus de 200 hectares) a vu plus de 100 avions parqués sur son sol. Ces avions ont joué un rôle important dans les bombardements de Falaise-Argentan, là où étaient stationnés de nombreux équipements et troupes allemands.
  • La ferme des Carrières (ancienne ferme de la Résistance) à Neuilly-la-Forêt : Jean Picot s'installe dans la ferme en , il refuse l’humiliation de la défaite et répond à l'appel de général de Gaulle. Il met rapidement sa ferme à la disposition de prisonniers et résistants et mène de nombreuses missions. Après la libération d’Isigny-sur-Mer et des communes alentour, Jean Picot met sa ferme à la disposition de l’armée américaine pour des missions périlleuses derrière les lignes de l’ennemi. Jean Picot a été récompensé par la croix de guerre et la médaille de la Résistance. Une grande partie de la ferme fut détruite lors de la tempête du 26 décembre 1999.
  • La chapelle Saint-Roch fut construite en 1514 par Guillaume Verdery en bonne foi afin d'avoir sauvé son père de la peste[25]. Elle fut abandonnée puis restaurée en 1951 afin d'accueillir des pièces d'art.
  • Monument Signal, commémorant la libération de la ville. Il est situé sur la place du Général-de-Gaulle. Il est inauguré en 1957. Il fait partie d'une série de monuments semblables, portant le même titre, situés dans les communes où le Débarquement de 1944 eut lieu.

Patrimoine disparu[modifier | modifier le code]

Buste d'Émile Demagny.
  • Buste en bronze d'Émile Demagny. Il représentait Émile Demagny (d). Le monument était situé sur la place Gambetta, qui depuis a été rebaptisée place du Général-de-Gaulle. Il est réalisé par Léopold Bernstamm et inauguré en 1922. Le monument était entouré d'une grille. Sous le régime de Vichy, le buste et l'allégorie devant le piédestal sont déboulonnés et fondus, dans le cadre de la mobilisation des métaux non ferreux. Le piédestal est resté vide.
  • Buste en bronze de Charles Boutrois. Il est réalisée par Alexandre Descatoire et inauguré en 1929. Sous le régime de Vichy, il est déboulonné et fondu, dans le cadre de la mobilisation des métaux non ferreux. Jean Boutrois écrit en vain au maréchal Pétain pour demander d'épargner le buste de son père Charles. Le piédestal est resté vide.

Activité et manifestations[modifier | modifier le code]

Sports[modifier | modifier le code]

L'Étoile sportive d'Isigny-sur-Mer fait évoluer deux équipes de football en divisions de district[26].

Loisir pour tous Isigny, association de basket-ball, comprend des équipes jouant à un niveau départemental.

Un club de tennis de table, né de la fusion entre les clubs originels d'Isigny-sur-Mer et Saint-Pellerin, regroupent des joueurs de tout âge.

Jumelages[modifier | modifier le code]

Isigny-sur-Mer est jumelée avec :

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

  • Jean-Baptiste Delauney (1752 à Isigny -1831), homme politique, député du tiers-état du bailliage de Caen aux états généraux.
  • Louis Énault (1824 à Isigny - 1900), journaliste et romancier.
  • Jean Lion (né en 1933 à Isigny-sur-Mer), footballeur professionnel.
  • Alain Hopquin (né en 1952), footballeur professionnel, résidant à Isigny jusqu'à son départ pour Lens.
  • Jean-Noël Levavasseur (né en 1965), journaliste et écrivain, a grandi à Isigny-sur-Mer.
  • Stéphane Allagnon (né en 1967), réalisateur de cinéma, a grandi à Isigny-sur-Mer.
  • Les ancêtres de Walt Disney seraient originaires de cette bourgade avant de partir pour l'Angleterre ; Disney — prononcé /ˈdɪzni/ — serait l'anglicisation de d'Isigny. Un bas-relief du Château de la Belle au bois dormant des parcs d'attractions et sur le drapeau du château des génériques des films Disney se trouve le blason de ces ancêtres.[pas clair] Cette découverte a été faite par des héraldistes quand Walt Disney a voulu ajouter un emblème à ces châteaux[27],[28].

Héraldique[modifier | modifier le code]

Armes d'Isigny-sur-Mer

Les armes de la commune d'Isigny-sur-Mer se blasonnent ainsi :

D'azur au chevron d'argent accompagné en chef de deux ancres du même et en pointe d'un bœuf d'or, au chef parti au I de gueules à la mitre d'or et au II palé d'or et de gueules[29].

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Population municipale 2021, légale en 2024.
  2. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

Références[modifier | modifier le code]

  1. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  2. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  3. GIEC normand, Le climat en Normandie : présentation et évolution, , 18 p. (lire en ligne), p. 2
  4. « Orthodromie entre Isigny-sur-Mer et Balleroy-sur-Drôme », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Vaubadon » (commune de Balleroy-sur-Drôme) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  6. « Station Météo-France « Vaubadon » (commune de Balleroy-sur-Drôme) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  7. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  8. « Zonage rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  9. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  10. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  11. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  12. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  13. « Les communes soumises à la loi littoral. », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr, (consulté le ).
  14. « La loi littoral »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur collectivites-locales.gouv.fr (consulté le ).
  15. « Loi relative à l’aménagement, la protection et la mise en valeur du littoral. », sur cohesion-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  16. Célestin Hippeau, Dictionnaire topographique du Calvados : comprenant les noms de lieu anciens et moderne, Impr. nationale (Paris, (lire en ligne), p. 151.
  17. « Disney : "Mickey, Bambi, Picsou, Grincheux, n’existeraient pas sans Isigny-sur-Mer" », Franceinfo,‎ (lire en ligne, consulté le )
  18. « RECUEIL DES ACTES ADMINISTRATIFS N° 97 du 13 septembre 2016 », sur le site de la préfecture du Calvados (consulté le ).
  19. « Éric Barbanchon élu maire de la commune nouvelle », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
  20. a et b Réélection 2020 : « Municipales à Isigny-sur-Mer. Éric Barbanchon élu maire de la commune nouvelle », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
  21. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  22. Site fromages-aop.com
  23. « Château (ancienne résidence épiscopale) », notice no PA14000014, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  24. 474th FG
  25. panneau explicatif de la chapelle
  26. « Site officiel de la Ligue Basse-Normandie – ES Isigny-s/-Mer » (consulté le ).
  27. « Les Secrets de Disneyland Paris : Fantasyland », sur chroniquedisney.fr (consulté le ).
  28. Anaïs Bouissou, « Disney, descendant de la famille des comtes d'Isigny, connue pour son beurre », sur rtl.fr, (consulté le ).
  29. « Isigny-sur-Mer », sur armorialdefrance.fr (consulté le ).

Voir aussi[modifier | modifier le code]

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Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • Y. Bailly et Philippe Pesnelle, Au pays d’Isigny-sur-Mer
  • Philippe Pesnelle, La baie des Veys, éditions Sutton

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]