Eric Clapton a largement fait parler de lui pendant le confinement en raison de ses opinions et ses positions autour du vaccin.
En mai dernier, il avait partagé son expérience après avoir été vacciné, qualifiant ses réactions de "désastreuses", et critiquant même "la soi-disant " propagande " qui fait la promotion de l’innocuité du vaccin".
Le 30 août, le guitariste a aussi fait part de sa frustration dans son nouveau titre, "This Has Gotta Stop". Il a ouvertement fait part de son opposition au confinement en sortant d’autres titres avec Van Morrison.
De son côté, Brian May, le guitariste de Queen, a récemment précisé qu’il respectait Clapton, mais que leurs avis divergent à bien des égards…
Et au début du mois de septembre, nous relayions l’information du magazine Rolling Stones selon laquelle Eric Clapton avait finalement accepté de jouer dans une salle qui imposait le Covid Safe Ticket.
Il estimait ensuite que ses propos avaient été détournés, et s’il maintient son refus de jouer dans des salles où la vaccination serait obligatoire, il accepte bien de jouer où le Covid Safe Ticket est imposé.
Il accuse le magazine Rolling Stones de " désinformation, dans le but de faire du sensationnalisme " et d’inadéquation entre le titre de l’article et son contenu.
Plus récemment, l’artiste aurait versé 1000£ et prêté son van au groupe "anti-lockdown" Jam For Freedom, les félicitant pour "leur travail".
L’artiste Robert Cray a déclaré quant à lui qu’il refusait de tourner avec Clapton après la sortie du titre "Stand and Deliver".
Alors qu’ils étaient amis de longue date, Robert Cray a coupé les liens avec Clapton après encore quelques échanges d’email, juste avant de lui annoncer qu’il ne ferait pas ses premières parties en tournée.
La semaine dernière, on apprenait aussi qu’Eric Clapton avait remporté un procès contre une femme qui vendait un bootleg d’un de ses concerts sur Ebay. Selon DW, cette personne ignorait qu’elle commettait une infraction en vendant le CD d’un concert d’Eric Clapton des années 80 pour 9,95€.
Clapton a envoyé une déclaration sous serment à la Cour de Düsseldorf confirmant que les enregistrements sur ce disque étaient illégaux, ce qui a joué en sa faveur lors du procès qu’il a finalement remporté.